(…)
Rien ne fait quelque chose de pire ou de meilleur en moi.
Ce que je suis, est déjà présent, est déjà vivant.
Seuls les voiles , dont l’opacité et la présence dépendent du pouvoir que je leur accorde, et ne concerne que mon regard sur l’extérieur, peut me donner l’illusion d’autre chose.
Je suis l’être que je suis. Rien à ôter, rien à ajouter.
Tout ce que je peux faire, dire, apprendre, vouloir, n’est qu’un leurre pour le mental et l’ego, par le mental et l’ego. Leurs besoins sont fabriqués de toutes pièces pour entretenir leurs propres cycles perpétuels de fonctionnement. Si ma conscience les éclaire, ils prennent peur, cette peur effroyable de mourir. Cette fin, dans un début illusoire et une vie sans consistance. Plus cela est grumeleux, plus cela fait leur bonheur. La grossièreté des traits et de la matière fait leur bonheur et leur nourriture. La finesse leur échappe, la subtilité leur est quasi inaccessible, alors la Vérité : totalement inconcevable. Le danger qu’il vénère ne fait que nourrir toutes ces fonctionnalités liées à la protection, et à la mise en place de tout cet attirail qui verrouille ce même mental, ce même ego, et cette sécurité du nid, il ne peuvent s’en défaire.
(…)
Rien ne fait quelque chose de pire ou de meilleur en moi.
Ce que je suis, est déjà présent, est déjà vivant.
Seuls les voiles , dont l’opacité et la présence dépendent du pouvoir que je leur accorde, et ne concerne que mon regard sur l’extérieur, peut me donner l’illusion d’autre chose.
Je suis l’être que je suis. Rien à ôter, rien à ajouter.
Tout ce que je peux faire, dire, apprendre, vouloir, n’est qu’un leurre pour le mental et l’ego, par le mental et l’ego. Leurs besoins sont fabriqués de toutes pièces pour entretenir leurs propres cycles perpétuels de fonctionnement. Si ma conscience les éclaire, ils prennent peur, cette peur effroyable de mourir. Cette fin, dans un début illusoire et une vie sans consistance. Plus cela est grumeleux, plus cela fait leur bonheur. La grossièreté des traits et de la matière fait leur bonheur et leur nourriture. La finesse leur échappe, la subtilité leur est quasi inaccessible, alors la Vérité : totalement inconcevable. Le danger qu’il vénère ne fait que nourrir toutes ces fonctionnalités liées à la protection, et à la mise en place de tout cet attirail qui verrouille ce même mental, ce même ego, et cette sécurité du nid, il ne peuvent s’en défaire.
(…)