« Quand bien aimé je suis » , dit le poème à propos de l’amour…
C’est d’ailleurs un amour tout relatif car il « finit mal »…ça se finit en queue de Dragon d’ailleurs je trouve…
Aimer lorsqu’on est aimé ; Ne pas aimer lorsque l’on est pas aimé.
L’équation sommaire. Ce qui est doux m’attire ; ce qui ne l’est pas ne mérite pas mon amour.
De l’amour … politique en somme. Donnant-Donnant.
C’est certainement sans compter sur l’étincelle d’amour qu’il y a derrière toute chose.
N’est ce pas le plus grand cri d’amour que la cruauté, le rejet, le silence, la violence, l’abandon….etc ?
N’entendons nous pas au dedans des velléités, des élans, des spontanéités malmenés ??
L’homme oublie qu’il est là pour aimer et non pour être aimé. Et l’amour est tellement plein de « filtres » qu’il est lui-même difficile à percevoir. Tout emmitouflé des manteaux de croyances qu’il est.
Ah, ça ! Nous le « tenons bien au chaud » notre amour !
L’amour c’est bien, c’est beau, c’est propre et c’est impeccable – sans pêchers !
Et comment percevoir l’amour dans la saleté, le tourment, les affres de l’isolement, de la méchanceté, de l’incorrection ou de la froideur ?
Comment « croire » une seule seconde que c’est bien l’Amour en note en fond ? Comme un Cèdre de l’Atlas qui porterait notre tête…afin que la Rose de notre Coeur puisse éclore.
Comment le vivre, le sentir, le percevoir, cet Amour là qui ne dit pas son nom.
« Car tu ne prendra pas le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain »
Un commandement qui peut s’entendre. Rendre le sacré au sacré, et la couronne à Jules César.
Rendre les lettres de noblesse à l’Amour, et de la Noblesse aux lettres de l’ Amour !
Ce peut être la pensée du jour ;
Dire tout l’Amour qu’on ressent pour la Vie et ceux qui nous accompagne dans ce parcours initiatique.
Le chanter, l’offrir entre deux feuilles de papier, au coeur d’un baiser, au centre d’une main ouverte ou d’un coeur attentif. L’Amour ça jaillit et ça se partage spontanément.
Comme l’Eau, ça prends la forme de la tasse, ça coule, ça se contient, ça se répands, ça file entre les doigts en restant toujours tout l’océan du monde !
Je vous souhaite une belle célébration, je vous souhaite de ressentir cette grâce d’un instant qui s’offre tout à la fois à un comme à mille, cette poussière essentielle au coeur des univers.